Tout qui est impossible pour l’homme est possible avec Dieu.

 

Moise avait ouvert la mer rouge avec un baston pour faire échapper d’esclavage son peuple

De nos jours les prêtres des églises chrétiennes sont aussi comme Moise et doit utiliser “un baston “ pour nous faire sortir d’esclavage.

 

Le problème est plus compliqué, même si avant n'était qu'une seule personne , et un seul ennemi, c'était Moïse et le pharaon.

 Avant le pharaon avait fait subi a la population, certaines mode de vie insupportable, et Dieu a entendu leur prières et a voulu choisir Moise pour faire sortie son peuple d’esclavage et des tous ses souffrances.

 

           Dieu avait promis une terre où il ne serait plus des esclaves, et après avoir passé la mère rouge, ils se sont égarés pendant 40 ans, pour trouver la terre promise.

 

           Mais personne n’a pas trouvé cette terre , jusqu'à aujourd'hui personne ou presque, n'as pas trouvé la terre promise à Moïse, parce que toute le monde attendait des vrai terre en matériaux, et personne n'avait compris que la terre était “eux même", les personnes sont crée de la terre, et sont animés par leur âme.

 Et puisque tout monde voulait des terre qui coulait du lait et du miel, il fallait que ces personnes deviennent comme des abeilles qui font du miel, et comme les vache qui donne du lait et pas des personnes au caractère de pharaon.

 

Mais qui peut comprendre que on a besoin encore de moise aujourd’hui pour nous faire sortir encore une fois de esclavage de “ces pharaons”? 

 

 A cette époque on avait un seul pharaon qui faisait de peuple qui croyait en Dieu, des esclaves, mais dans notre époque actuelle, on a des milliers de pharaons qui font la même chose.

 

 Alors nous les chrétiens, le peuple de Dieu qui croit en Lui, on va trouver un Moïse avec son bâton pour ouvrir la mère rouge qui est devant nous, à chacun de nous? 

 

Ça va être trop compliqué, car la modernisation actuelle, nous transforme en esclaves sans avoir la possibilité, de nous sortir de cet esclavage. 

Déjà personne ne veut faire comme Moise, accepter de faire sortir son peuple d'esclavages ce trop compliqué.

 

Compliqué parce que cette terre promise pour faire fuir de esclavage se trouve en chacun de nous, ce pas pour rien que tout le monde parle que l'enfer et le paradis sont en nous, c’est la vérité.

 

Les prêtres de nos jours, doivent être “le Moïse" et chaque communauté qui tient une église est le peuple de ce Moise. Et le bâton de moises de notre histoire qui ce passé réellement (éprouvé scientifiquement) se serait l’avantage qui nous l’avait donné Dieu Lui-même, le Jésus Christ. Alors , on doit sortir de esclavage, et se protéger de ne pas rentrer encore dans les pâtes de pharaon, par le pouvoir de Moïse de nos jours, qui est plus armé que le pauvre Moïse d'antiquité.

 

Dieu a laissé la langue de feu descendre sur chaque de ses disciples et se multiplier sans relâche, et se fait car ses disciples de Jésus sont aujourd’hui nos prêtres.

 

Puis avec ces deux grands pouvoirs et mystères célestes qui tiennent nos prêtres: l'esprit saint, et la communion avec Jésus Christ, remplacent largement le Moïse ancien. 

 

Ce pas pour rien qui est dit que Dieu ne donne pas plus de que on peut porter.

 

Notre esclavage, n'est pas sans issue.

 

 Parce que nous on ne cherche pas à s'approcher de Moïse, pour nous faire sortir par la mère rouge, vers une destination de terre promise de Dieu.

 

Nous aujourd’hui on est chacun en face à une mère rouge, nos malheurs, nos pêchée, et l’ignorance que ce la seule issue, pour trouver la terre promise, c'est à dire la paix, le salut , la santé, en vivant en fraternité, en mangeant de la sueur de nos mais. en passant du temps avec notre famille et nos proches en paix, et en leur éduquant que la terre promise est notre état d'esprit alimenté et nourri par nos propres actes de la vie quotidienne.

 

 Donc , la personne qui a compté cette réalité, va avoir sa terre promise, en s'approchant de Moïse qui va ouvrir la mère rouge, qui va le faire passer sans se noyer, et qui va fermer la mère sur le pharaon et ses employés.

 

Combien de temps on a été égaré , Moïse a égaré avec son peuple 40 ans est écrit dans le livre d'histoire ancienne qui est tout simplement la bible. Mais nous on a égaré des centaines d'années, voire plus des milliers d'années.

On se croyait perdu et on se demandait toujours, pourquoi la chaîne des prophètes que Dieu nous a habitué à nous envoyer sur la terre, pour nous apprendre à vivre et se défendre du mal, ce arrêtée?

 

 Mais ce n'est pas évident? Ne jamais arrêter! La venue de Jésus est aussi pour multiplier ses Prophètes qui venait avant que dans certaines endroit géographique de sur la terre.

 

Jésus a commencé par ces 12 apôtres, et leur avait donné le pouvoir de transmettre leur saint esprit qui était descendu de Dieu Lui-même sur eux, et combien  de prêtres sont aujourd’hui sur toute la terre?

 Ce sont là nos prophètes modernes d'actualité et dans toutes les zones géographiques de la surface de la terre.

 

C’est un avantage, d’avoir des prophètes près de chacun de nous, et qui on est assez pris dans l'esclavage, qui on ne peut pas voir cette réalité.

 

Alors n'attendez plus, allez chercher votre prophète Moïse et demandez à vous accueillir dans la communauté de son peuple, pour traverser ensemble la mère rouge, pour vous échapper d'esclavage, et vous porter, vous guider vers les terres promises.

 


Manquerons-nous le réel quand nous refuserons de voir?

Et voici la grande question qui nous amène tout doucement à nous poser à la fin : l'objectivité est-elle la seule approche authentique du réel ou bien manquerons-nous le réel quand nous refuserons de voir l'inter-réaction des forces qui n'obéissent pas à ses lois ?


Pour être objectif, l'homme a dû se détourner de l'ordre naturel; il a progressivement récusé la spiritualité des autres éléments de la nature, puis il a progressivement récusé sa propre spiritualité ; l'homme scruté les cieux, il n'y a pas découvert Dieu ; il a scruté son âme, il n'y a pas trouvé la spiritualité.


Il ne lui est pas venu à l'idée de chercher cette spiritualité dans son corps, car son corps avait été rangé au nombre des objets matériels. Si bien, qu'après avoir créé la notion de Dieu unique, il aboutissait inexorablement à ce "Dieu est mort" c'est-à-dire au culte exclusif de la raison.

D'où le saisissant raccourci : En plaçant notre confiance dans la connaissance, nous trahissons notre foi, car nous avons perdu le contact avec notre corps.
Confondre intellect et spiritualité est une effroyable bêtise qui, hélas, a encore cours en bien des endroits.

En fait, sentir la spiritualité est un phénomène corporel. Il s'agit d'arriver à ressentir à l'intérieur de soi-même le flux des énergies, à avoir conscience des courants végétatifs qui circulent à l'intérieur du corps. Pour cela, il faut que l'ego lâche prise. Mais pour que ce lâcher-prise soit possible, il faut avoir la foi.

La vie spirituelle n'est pas autre chose que la vie intérieure du corps, quand celui-ci est à nouveau relié au cosmos, quand la peur a lâché prise.
Coupée du corps, la vie spirituelle devient une abstraction, tandis que le corps, privé de spiritualité, devient un objet. Avoir la foi, c'est sentir le courant de vie en soi, dans tout son corps, en un rythme continu et sans fin.

C'est être rattaché au passé du monde, exister dans le présent, et appartenir au futur.

« Les gens qui ont une foi authentique ont la grâce » car ils peuvent faire un avec leur corps,

donc avec l'univers - Dieu.

 

Certes, nous ne sommes guère habitués à entendre un tel langage. Et dans notre société prudente et compassée, il se trouvera sans doute plus d'une voix pour dénoncer l' "effroyable mélange" que les bons esprits ne manqueront pas de déceler dans les termes mêmes de la présente approche.


Tant de liberté, il est vrai, peut donner un sentiment de griserie. Mais je pense qu'il faut lire, et se demander ce qu'il a fait lui-même de tout ce qu'il a dit… et à s'étonner de ce que sa pratique quotidienne ait pu côtoyer tant de précipices sans trébucher.

Actuellement, et comme par le passé, le but fondamental de la visée d'un psychosociologue spirituelle, consiste à aider le monde sensibles mentalement à retrouver la réalité. Si la coupure d'avec le réel est grave, autrement dit si une personne est désorienté dans le temps, dans l'espace ou dans son identité, on parle alors d'état psychotique.

Il vit dans un univers purement subjectif qui fausse sa perception du réel. Quand le désordre émotif est moins grave, on parle de névrose. Le névrosé n'est pas désorienté dans le temps ni dans l'espace, sa perception du réel n'est pas faussée, mais sa conception de la réalité est chancelante.



La réalité n'est cependant pas toujours facile à définir


Il est bien souvent difficile de différencier ce qui est sain de ce qui ne l'est pas. La croyance aux esprits qui fut tenue à une époque pour vérité d'évangile par la plupart des gens, est perdu de nos jours toute créance.

Actuellement, quand quelqu'un affirme avoir vu un « esprit », on dit qu'il a une hallucination.

Et, toutefois, le développement des études sur les phénomènes extra-sensoriels ébranle notre conviction : pourquoi de telles expériences seraient-elles exclues du réel ? Une vue trop étroite de la réalité peut également se montrer illusoire.

Il arrive bien souvent qu'on puisse démontrer à un individu qui s'enorgueillit de ses convictions positivistes qu'il vit en fait sur un amas d'illusions cachées. Il n'y a qu'une indiscutable réalité dans la vie de chacun : son existence physique - son corps. Son être, son individualité, sa personnalité sont déterminés par son corps. Quand son corps meurt, l'individu cesse d'exister en tant qu' être au monde . Aucun être n'existe hors de de son corps. Aucune forme de vie mentale n'est dissociée de l'existence physique. Penser autrement est illusoire. Ce qui n'exclut nullement la dépression nerveuse et le corps que l'existence physique d'un individu prennent une dimension mentale aussi bien que matérielle.


Partant de ce point de vue, le concept de troubles mentale s'effondre. Il n'est pas de trouble mental qui ne soit en même temps physique.

Un individu en état de dépression nerveuse est touché aussi bien physiquement que mentalement : ces deux aspects n'en font qu'un, chacun étant une face différente de la même personne. Il en est de même de tout ce qui est nommé soi-disant « trouble mentale ».

La croyance que tout est dans la tête est la grande illusion de notre époque, déniant de ce fait la réalité fondamentale que la vie dans toutes ses manifestations est un phénomène physique.


Désordre de la fonction émotionnelle serait déjà une expression beaucoup plus juste pour définir les troubles de la personnalité. Le mot émotion, indique une idée de mouvement et a par conséquent une implication physique aussi bien que mentale : le mouvement se situe à un niveau physique, mais sa perception se déroule dans la sphère mentale.

Un trouble émotionnel implique ces deux niveaux de personnalité. Puisque c'est l'esprit qui mobilise la personne, il est bien entendu concerné dans tout conflit émotionnel : l'individu en dépression souffre dans son mental, mais il est également touché dans son corps.


Si nous souhaitons échapper à cette illusion que tout est dans la tête , nous devons reconnaître que toute véritable spiritualité a un fondement physique et biologique. De même, nous devons faire une distinction entre foi et croyance ; cette dernière est le résultat d'une activité mentale, tandis que la foi est enracinée dans les fondements biologiques les plus profonds du corps. Nous ne comprenons jamais la véritable nature de la foi si nous n'écoutons pas ce type de processus chez les hommes et chez les femmes qui ont la foi et chez ceux qui ne l'ont pas.

Comme nous le verrons, l'individu en dépression est un être qui a perdu la foi.
Comment et pourquoi l'a-t-il perdue, ce sera le sujet ici.
Au cours de cette analyse, nous en arriverons à la compréhension des bases biologiques du sens de la réalité et de l'expérience de la foi. La perte de la foi étant un problème clé pour l'homme moderne, l'importance de cette recherche est fondamentale.

 

Dépression et rupture avec la réalité

 

La dépression est devenue de nos jours si banale qu'un psycho la décrit même comme une réaction parfaitement normale à condition qu'elle ne gêne pas l'accomplissement de nos tâches journalières . Mais même si elle est normale au sens statistique du terme, c'est-à-dire d'après la manière dont le plus grand nombre d'individus se comportent, elle ne peut être considérée comme un état sain.

Selon cette définition du normal, si elle concerne un grand nombre de gens, une tendance schizoïde s'accompagnant d'un sentiment d'étrangeté et de repli sur soi pourrait aussi passer pour normale à condition que sa gravité ne nécessite pas d'hospitalisation. On pourrait tenir le même raisonnement pour la myopie ou le lumbago, si fréquents à notre époque qu'ils font pour ainsi dire partie de la condition normale de l'homme moderne.


Les gens qui ne souffrent ni de dépression, ni de schizoïdie, ni de myopie, ni de lombalgie devraient-ils alors être considérés comme anormaux ? Ne sont-ils pas plutôt des gens réellement normaux, alors que la majorité souffre à des degrés variés de troubles divers, à la fois physiques et psychiques ?

Personne ne peut attendre d'un être humain qu'il soit joyeux à longueur de temps ; les enfants eux-mêmes ne ressentent pas la joie en permanence, bien qu'ils en soient plus proches par nature. Mais le fait que nous n'atteignons que rarement ces transports de joie n'explique pas la dépression.


Le critère d'un être sain est de se sentir bien.
Un individu en bonne santé se sent bien la plupart du temps : dans ses occupations avec autrui, son travail, ses distractions, il est à l'aide si son plaisir atteint la joie et peut même s'élever en général. Parfois son plaisir atteint la joie et de qu'à l'extase : à d'autres moments, il connaîtra aussi la tristesse, le chagrin, le désappointement, et cependant il n'est pas pour autant déprimé.


Pour comprendre cette différence, comparons l'individu bien accordé, il vibre et émet des sons. On peut alors jouer un air pais triste, une marche funèbre ou une ode à la joie. En revanche, il est mal accordé, seule une cacophonie en résulte. Si ses cordes lâches, sans timbre, vous n'obtiendrez aucun son ; l'instrument sera vie, incapable de répondre. Telle est la condition de l'individu en dépression : il est incapable de « vibrer »


L'incapacité à réagir distingue la dépression de tous les autres étant émotionnels. Découragé, un individu retrouvera foi et espoir quand la situation changera : abattu, il retrouvera son élan lorsque les causes de sa peine seront éliminées ; quand il broie du noir, il s'illuminera à nouveau à la perspective du plaisir.

Mais un sujet déprimé ne réagit à rien : bien souvent, la promesse de jours meilleurs ou l'annonce d'un plaisir ne font que l'enfoncer un peu plus dans la dépression.


Dans les cas sérieux, la coupure d'avec le monde est parfaitement évidente. Le sujet gravement déprimé peut passer des heures sur une chaise, assis, ne regardant rien. Il peut rester allongé sur son lit la plus grande partie de la journée, incapable de trouver l'énergie nécessaire pour se réinsérer dans le courant de la vie.


Sagesse

La première vertu, la plus grande et la plus brillante de toutes les vertus cardinales, est la merveilleuse vertu de sagesse.

C'est la mère, l'enseignant et le leader pour le bien de toutes les vertus chrétiennes-spirituelles. la sagesse est la lumière de la connaissance pour distinguer le bien du mal, la vérité du mensonge, etc. La sagesse forme dans notre être un «cœur compréhensif», «l’art de connaître et d’associer ne veut dire que pour le mieux», «la science de la science et de l’ignorance», «l’attribut de connaître les meilleurs moyens, qui mènent aux fins de plus d'amélioration ".

La sagesse est une force bienfaisante de connaissance des meilleurs moyens idéaux pour atteindre des buts idéaux plus élevés.

La sagesse humaine de ce monde est une lumière très faible, une science incrédule, fière, vantardise et condamnée à travers les Saintes Écritures. cette sagesse humaine-mondaine, qui en toutes choses s'oppose au salut des âmes, est durement jugée par la Parole de Dieu. «Il est écrit», dit le Saint Apôtre. Paul - Je vais perdre la sagesse des sages et rejeter la connaissance des sages…

La vraie sagesse fonctionne si merveilleusement chez ceux qui en sont dotés d'en haut que: «Ce qui est insensé de Dieu est plus rapide que les hommes. Et ce qui est plus faible que Dieu, est plus fort que les hommes…

 

Soutenu et très réconforté par l'amour sans bornes, la gentillesse et l'aide du Dieu miséricordieux toujours béni, avec toute confiance nous avançons dans l'accomplissement de notre mission sacerdotale, pour allumer une autre torche et la placer dans le chandelier de l'assemblée des chrétiens et du monde entier, pour éclairer et d'utiliser tous ceux qui désirent le salut.
Bien que certains écrivains et compositeurs de livres soient habitués, comme lorsqu'ils donnent un livre à la lumière, à l'adorer ou à l'apporter à certains de leurs aînés: princes, chefs, boyards, nobles, enfants, épouses, amis, parents, etc., cependant, nous, les plus jeunes des Jeria-Moines, adorons et confions cette œuvre à la Très Sainte Trinité vivifiante: au Père et au Fils et au Saint-Esprit, à la Très Sainte Mère de Dieu et à l'éternelle Vierge Marie, aux armées angéliques et à tous les saints. Ce qui nous a aidés à le recréer, à le compléter et à l'illustrer autant que nous pourrions vivre, pour le temporel et le voisinage de tous les gens fatigués pour le mieux.
Voir dans la plupart des tumulus chrétiens, à part l'obscurité de l'ignorance des dieux, de ses commandements jaillissant de la fermeté et de la vie heureuse, et même l'obscurité de...

AVEC DOULEUR DANS L' ME AUX LECTEURS

- dans cette édition -
En imprimant cet ouvrage, nous remplissons un devoir moral envers l'auteur, transmis aux éternels en 1975, ainsi qu'un devoir émouvant envers notre prochain, l'aidant à marcher sur le chemin du salut.
Il s'intitule "Le chemin des âmes vers l'éternité" ou "Les 24 coutumes de l'air" et est écrit par le projosinghel Nicodim Măndiţă.

Traduite en française par Crenguta Nicoleta Bulilete - NaturSainte

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